« Océans 3, La voix des invisibles » Une drôle de guerre

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Troisième opus de la série, le documentaire Océans 3 la voix des invisibles – une drôle de guerre – Prix des Mémoires de la mer de la Corderie Royale 2022 – décrypte les intérêts qui se cachent derrière l’éolien offshore. Quelles seront les conséquences environnementales, économiques et sociales de ces projets industriels sur les mers?

Océans 3, la voix des invisibles fait suite à Océans 1, la voix des invisibles – récompensé par le Prix du documentaire Regards sur le cinéma du monde et la Médaille de l’Académie de Marine – et Océans 2, la voix des invisibles, films sélectionnés dans plus de 65 festivals en France et à l’International.


Océans 3, la voix des invisibles
Type : documentaire
Durée : 75’
16/9 – HD
Année : 2021
Ecrit et réalisé par : Mathilde Jounot
Publics : Tous publics
Production : Portfolio Production
Avec le partenariat de la Mission de la mer.
Presse

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Description

PRESSE OCEANS 3, LA VOIX DES INVISIBLES

« Là encore, le monde de la finance et les multinationales, qui flirtent cette fois avec l’éolien marin, en prennent pour leur grade ». Bretons magazine Octobre 2021

« Mathilde Jounot continue d’interpeler avec ses films Océans 1, Puis Océans 2 et maintenant Océans 3, la voix des invisibles – une drôle de guerre – en posant la question : les océans, doivent-ils être gérés par les citoyens ou les marchés financiers? (…) un remarquable travail à très forte résonance d’actualité ». Mediapart. Septembre 2021

« Comment peut-on laisser des multinationales ne pas répondre aux risques sur l’environnement, sur les conséquences sociales, économiques ? Comment se fait-il que ce sont les citoyens qui vont en plus, financer ces projets et enrichir ces multinationales qui sont sans aucun contrôle ? ». Ouest-France. Septembre 2021

« La transition énergétique n’est-elle pas justement l’occasion de mettre en place une nouvelle démocratie qui prend véritablement en compte les citoyens et les savoirs ancestraux des professionnels de la mer? ». Club de la presse. Septembre 2021

« On est en train de faire pire que sur terre, de l’industrie polluante sur le domaine public avec une gestion hors de contrôle par les marchés financiers et non par les citoyens. Est- ce l’avenir que nous voulons ? ». Ré à la Hune. Août 2021

« La bonne nouvelle, c’est que ces films analysent, posent des questions et enclenchent un engrenage de réflexions. Car le plus important est d’installer un vrai débat afin que les gens puissent échanger à travers le monde ». Le Phare de Ré. Aout 2021

« Sous prétexte de transition énergétique, on attribue des concessions du domaine maritime public à des multinationales qui ne paient pas leurs impôts en France… On ne pourrait pas faire autrement? ». Ouest-France. Juillet 2021

«« Ces parcs sont assez nouveaux en France, mais ils ne le sont pas dans le monde. Comment se fait-il alors que les consortiums retenus pour les implantations et les exploitations ne puissent fournir de réponse sur les analyses environnementales ? ». Sud Ouest. Juin 2021

« Mathilde Jounot poursuit une navigation au longs cours avec ce troisième opus de la série qui interroge sur les nouveaux enjeux financiers sur les océans (…) un film très documenté, faisant parler de nombreuses voix du pêcheur Breton à l’élu européen à Bruxelles en passant par le scientifique ou le Préfet Maritime, réalisé avec une grande empathie envers les pêcheurs et autres acteurs littoraux, qui expose avec une talentueuse mise en récit dramatique cinématographique, tous les grands enjeux de démocratie & la place des populations locales versus management technocratique autoritaire, greenwashing, collusion État/ intérêts privés, etc… dans la “Transition” ». Aqua Jonas Juin 2021

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